L'hommage aux 50 ans du cinéma marocain - FIFM

Culture
Dev Web
Editor Made in Marrakech
19 novembre 2008

Sanae a été une maîtresse de cérémonie à la hauteur, lors de cette soirée honorant le cinéma marocain. <BR>

Le choix de la date du 18 novembre n'est certainement pas fortuit pour cet hommage aux 50 ans du cinéma marocain.

Le 18 novembre 1952 est une date importante pour le pays, puisque c'est le jour de la fête de l'Indépendance !!

Ils étaient encore plus nombreux ce soir, face au Palais des Congrès. Les spectateurs étaient venus en force pour acclamer les stars du cinéma marocain. L'ambiance y était bonne enfant et s'est déroulée sans embûche (visiblement).

Il est vrai que comme chaque soir, quelques personnes non invitées ou non accréditées essayent bien de passer les portillons de sécurité, mais cela s'est fait dans une ambiance festive.

Dans la salle des Ambassadeurs régnait également une atmosphère de fête ! Les flashs crépitaient de tous les côtés en espérant capturer le meilleur cliché de la pléiade de vedettes venues assister à cet hommage.

Comme chaque soir maintenant, le manque de place pour la presse s'est laissé sentir mais cela sera certainement le cas jusqu'au dernier jour de ce très beau festival.

Nourredine Saïl est venu parler de ce cinéma marocain, qui disposerait à ce jour de plus de 200 films à son actif ! Il a d'ailleurs souligné : "le cinéma marocain peut regarder l'avenir avec confiance !".

Il a ensuite remis un trophée à Larbi Yacoubi, qui est apparu ému, pour l'ensemble de sa carrière, sous une salve d'applaudissement.

Ensuite, place à la projection du film "Amours voilées" de Aziz Salmy avec avec Saâdia Ladib, Younès Migri. L'histoire du film : Batoul, une jeune femme de 28 ans, médecin, découvre l'amour. Elle a été élevée dans un milieu bourgeois mais conservateur où il n'est pas question de fréquenter un homme avant le mariage. Elle rencontre Hamza et elle se laisse aller jusqu'à transgresser tous les principes qu'elle a toujours revendiqués. L'histoire aurait pu en rester là, si le port du foulard ne s'était pas glissé entre les deux protagonistes.

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19 novembre 2008