La Légende George Wassouf pour la 24ème Mazagan Nights.

Inédit
Kaoutar Bouseffour
Editor Made in Casablanca
17 mars 2016

Le Mazagan Beach & Golf Resort annonce la nouvelle saison des Mazagan Nights 2016 avec pour la 1ère fois le « Sultan El Tarab » attitré George Wassouf, le Samedi 26 mars 2016. Après 7 ans d’absence au Maroc, George Wassouf choisit la scène de Mazagan Beach & Golf Resort pour retrouver son public et offrir un concert unique et inoubliable à la grandeur de son image.

Celui que l’on ne présente plus et qui par sa seule voix encense les cœurs, n’en est pas à sa première au Maroc, déjà en 2009 il soulève le public sur la scène de Mawazine dont il dira que ce fut une des plus belles scènes de sa carrière. Invité sur les plus prestigieuses scènes du monde Arabe et d’Europe, George Wassouf marque par son charisme et son dévouement à son public fidèle dans des salles mythiques aux quatre coins du monde. Régulièrement acclamé au Moyen-Orient, il est l’invité d’honneur de nombreux festivals dans tous les pays de la région.

La scène est son terrain de jeu depuis l’âge de 12 ans, et, jusqu’ à aujourd’hui il cumule plus d’une vingtaine d’albums et des opus qui assoient plus que jamais son titre de Sultan El Tarab décerné par Georges Ibrahim El Khoury producteur manager, qui en 1980 le révèle au monde dans la célèbre émission libanaise « Studio El Fan ».

Son naturel dans sa maîtrise vocale lui donne une aura céleste jusqu’à l’adolescence pour ensuite se parer de cette voix profonde et enivrante qui fera de Georges Wassouf l’unique et le seul jamais imité.

George Wassouf est un des artistes les plus prolifiques en terme de titre de sa génération, parmi les opus qui le hissent vers la reconnaissance de ses pairs on peut citer « Hawa Sultan », « Rohi ya Nesmah », « Helif el-Amar » et « Law Naweit », « Salaf Wi Deine » et « Kalamek Ya habibi », « Tabeeb Garah », « Kalam aness ». Ses titres tantôt mélancoliques, tantôt empreint de tendresse et d’amour sont repris en cœur par son public toutes générations confondues. Il doit par ailleurs ces notes à la diva orientale Oum Kalthoum, Warda et Abdel Halim El Hafid.

La musique est sa raison de vivre, la scène, le seul endroit où dit-il, il se sent exister pleinement.

Kaoutar Bouseffour
Editor Made in Casablanca
17 mars 2016

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